• Pas en forme ce lundi mat' (tell me why i don't like mondays).Ecrire est un bon éxutoire (plutôt que d'envoyer chier ces collègues). Je me dis quel est le groupe, quel est le putain de groupe dans lequel j'aurais aimé jouer. La réponse est Dexys midnight runners. C'était vraiment... cool et puissant en même temps avec des influes allant du Punk à la soul. j'adore ce mélange, cet équilibre que Kevin Rowland avait trouvé. Incroyable. c'était juste un putain de groupe comme les anglais savent le faire. Même sur enregistrement, ils sonnait vraiment live... et la qualité des morceaux à se taper le cul par terre... Je sais plus qui a dis (justement) que t'es pas le même aprés avoir entendu "try a little tenderness" d'Otis Redding (peut être Strummer ou Ian Mc Cullogh). On pourrait dire que tu n'es plus le même aprés avoir entendu "I believe in my soul".

    Au fait, Vous connaissez "Ripeness" et l'albun Porcupine (comme la plupart des autres albums) d'echo and the bunnymen... Ca aussi c'était... waoh!!!

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  • Pas facile d'écrire des paroles... surtout quand on a une voix de casserole comme la mienne. Mais bon. J'ai essayé sur le reggae et j'ai séché au bout de deux strophes. c'est dur de faire un texte qui veuille dire quelque chose, je suppose qu'à force d'écrire la qualité s'améliore. J'entendais ce matin dans un morceau de noir désir, ce bout de phrase:"l'infinité des destins". C'est pas mal, c'est assez évocateur sans être explicite.
    Emprunté à la médiathèque la compil des Inrocks couvrant les 20 dernières années, découpées en tranches. Sans conteste, la plus riche est la plus ancienne (1986-1990), au fur et à mesure on peut voir l'appauvrissement de cette musique que l'on peut qualifié de pop rock. Qui à dit que les années 80 étaient pourries?... Suffisait d'écouter les bonnes choses. Les Inrocks répertorient entre autres les smiths, cure, jesus & mary chain, morrissey, nick cave, the fall, sonic youth, pixies. De grands absents (wedding present, house of love, my bloody valentine, ride, etc...). Et encore là, on ne parle que de la 2° moitiée des années 80. Pour les reste, quelques secousses de temps en temps dans l'endormissement de la vague électro (peut on encore écouter superdiscount? beurk). A noter l'absence de l'auvergnat furibard, Jean Louis Murat qui a du se facher avec le bureau de la rédac (bureau politique?). Dommage, sa version d'avalanche IV sur l'album de reprise de Léonard Cohen est pourtant un des summuns de ce que la revue a pu produire sur CD.

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  • Ouais ca prends forme, du moins je trouve. A avoir bosser la set liste, je trouve qu'elle a de la gueule. Ca commence à prendre forme.

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  • Toujours dans les chroniques de Dylan, comment il a galérer pour enregistrer l'album "oh mercy" avec le producteur Daniel Lanois. Le problème pour lui, c'était de livrer ses chansons à quelqu'un d'autre, de les laisser partir dans une diredtion qui ne lui allait pas, avant d'arriver avec le temps à les laisser apprivoiser. Mais c'était intéressant de voir l'envie de sentir les chansons restée live et même assez minimales alors que le producteur veut partir dans un délire funk avec beaucoup de son. Heureusement, Dylan a un fort caractère.
    J'étais étonné qu'il ai eu envie de prendre Mick Jones ("l'indispensable guitariste des clash")dans son "orchestre".

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  • Depuis quelques temps, j'entends des sons...Phénomène assez récent. La première c'était pour la bossa nova. Olive me fait écouter la bande, et j'entends direct la partie lead dans ma tête. Répèt suivant, je cale le truc direct, sans chercher. Surprenant... j'ai trouvé un nouveau plan un peu jazzy samedi dernier à la maison. Je le reprends vite fait sur la folk ce matin et en sortant de chez moi j'ai le solo en tête. Je ne sais pas si j'arriverai à le retrouver aussi facilement, mais c'est assez étonnant. Ca me fait penser aux chroniques de Bob Dylan que je suis entrain de lire en ce moment (toutes proportions gardées bien évidement). Il explique comment il a retrouvé le gout du chant (avant l'enregistrement de l'album "Oh Mercy") à travers une technique assez étrange ce placement de voie en comptant. Bon j'ai rien compris à cette technique, mais par contre j'ai compris lorsqu'il explique que parfois c'est comme une porte qui s'ouvre, tu accède à quelque chose qui t'étais assez obscur. Mais le fait est, que maintenant, parfois j'entends les notes avant de les jouer.

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