Selon des études récentes, la masturbation régulière chez l'homme atténuerait les risques d'avoir le cancer de la prostate. En effet, une équipe de recherche australienne a prouvé que les hommes ayant éjaculé le plus entre 20 et 50 ans ont plus de chances de ne pas attraper le cancer. Mieux encore, les hommes ayant éjaculé au moins 5 fois par semaine divisent les risques par trois du cancer de la prostate. Le docteur Giles, de l'équipe australienne, a expliqué que le manque d'éjaculations régulières pouvait faire que les substances cancérigènes s'accumulent dans l'organisme. Une connexion semblable entre le cancer du sein et le fait d'allaiter aurait également été trouvé.

 

Jukebox du lundi :

THE CURE "M"

THE CLASH "GUNS OF BRIXTON"

KEVIN ROWLAND & DEXYS MIDNIGHT RUNNERS "GENO"

STEREOPHONIC "Mr WRITTER"

ELVIS COSTELLO "WATCH THE DETECTIVES"

 

Quoi de neuf docteur?... J'aime beaucoup The Kooks, pour leur fraicheur, leur refrain pop catchy de chez catchy, leur simplicité (vu hier soir chez Denisot sur Canal +). A comparer, ces têtes de noeuds de Justice devraient un peu se dégonfler le melon(vu la veille toujours dans la même crémerie). Enfin bref, the Kooks, une bonne cuisine simple, efficace, et fraiche comme un morceau de pastèque en pleine canicule. J'ai écouter aussi TV on the radio (que j'avais un peu rapidement zappé précédement). J'aurais du voir le label 4AD (label de qualité). Pas mal du tout les new yorkais, entre Bowie, Bauhaus et soul coughing... Un disque pas comme les autres.  

Aprés les 400 000 euros dépenser en force de l'ordre pour faire transiter une flamme olympique dans les rue de la capitale, un rapport demandé par la comission des finances de l'assemblée montrerait que le dispositif sur les heures supplémentaires couterait plus cher à l'état que cela rapporterait de pouvoir d'achat à certains salariés (qui peuvent en bénéficier). CQFD?

Vu hier soir sur canal dans l'émission de Denisot, le meilleur représentant de la chanson française "rock" toutes catégories, Alain Bashung. Un Bashung, malheureusement que l'on souhaiterai en meilleure forme et à qui on souhaite nos meilleurs voeux de guérison, mais un Bashung serein, clairvoyant et modeste. Revenant sur l'aggressivité latente de notre société, sur la pression qu'il peut avoir sur un nouvel album, un Bashung que l'on écoute attentivement loin des poseurs et autres stars éphèmères. Un grand compositeur, une grande voix et un grand homme. Sacré bashung.