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Aprés "les racailles", le "karcher", "si t'aimes pas la france", le" salope" de devedjian, les vacances à malte sur la yacht de Vincent, le "descends le dire ici", la mascarade de Neuilly, Louxor et Carla, la vodka de Poutine, la laîcité remise en cause, les classes de CM2, la lettre de Guy Mocquet, la défaite de la coupe du monde de Rugby (Chirac avait au moins réussi la sienne), le repas au Fouquet's, les RG, les tests ADN du scooter du fiston... le "casses toi pauvre con" au salon de l'agriculture (Chirac au moins savait y faire avec la France paysanne). Ca, il s'économise pas notre président.
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Il est grand temps dans ce Blog de rendre hommage à un grand groupe : les psychedelic furs. Finalement, comme tous les vieux new wave on s'apercoit qu'ils ont influencés pas mal de monde (des reprises de social distortion , de the national aux Foo fighters). C'est vrai que c'était un groupe parfois assez inégal, mais capable de grands morceaux comme le fabuleux "Pretty in Pink" et la voix du gars Butler vaut le détour. La première fois que je les ai vu à la TV, c'était dans une superbe émission de Bernard Lenoir pour les enfants du rock et j'étais resté scotché.
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Dimanche soir dans la cave, il faisait plutôt frais. Pas grand chose pour cette répèt... Une bonne version de "Ladron" (j'ai réutilisé la Wah et c'était assez cool) et un nouveau titre "my last white christmas" trés chouette et poppy. Pour le reste, c'était assez moyen. Point positif on a joué moins fort, j'ai finit à 4 sur le potard de volume du Marshall au lieu des 6/7 habituels. Ca doit être mieux pour tes oreilles Olive...
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Tout compte fait, ces vacances ne m'apparaissent pas de tout repos. 3 jours et pas le temps de rien faire. Je suis mis à contribution, une couche par ci, une préparation de repas par là... J'ai quand même pu boucler mon circuit Sécu/ CAF. J'ai une grande sympathie pour nos ami(e)s antillais(e), sauf celles qui bossent à la sécurité sociale et dont obtenir une simple attestation relève de la guerre psychologique. Mais pas de chance pour elle, ce jour là, j'étais d'humeur trés combattive. J'essaie d'écouter un album de Bowie (Buddha of suburbia), j'ai bien dis j'essaie.
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Quand je suis de méchante humeur au boulot (comme aujourd'hui), je me chante cette chanson de Miossec. Ca me calme.
L'assistant parlementaire (Christophe Miossec / Guillaume Jouan) Pour l'instant je ne fais que ce qui leur plaît
Pour l'instant je ne fais que ce que bon leur semble
Quand on est nouveau dans le métier
Mieux vaut pas trop qu'on vous entende
Pour l'instant le meilleur système pour avancer
Est celui de la vipère la salamandre
Du sang-froid du venin des morsures bien ficelées
Pour chaque jour avoir de la viande froide à étendre
Pour l'instant à genoux j'ai peut-être l'air niais
Mais debout moi pour l'instant je tangue
Il me faut encore connaître les ficelles du métier
De quelle façon de quelle manière on égorge on étrangle
Tout ce qui peut sur votre route se trouver
Et qu'il faut supprimer sans que la main ne tremble
Pour l'instant je ne suis peut-être qu'un laquais
Un assistant de l'assemblée un valet de chambre
Pour l'instant je taille des haies
Pour l'instant j'arrondis les angles
Pour l'instant je courbe l'échine
Pour l'instant j'en avale ma langue
Pour un jour planter son étendard au sommet
Chaque bastion chaque citadelle est bonne à prendre
Guérillas guerres d'usure ou de tranchées
Tous les moyens sont bons pour s'étendre
Pour se les faire il ne faut surtout pas rêver
Pour se les faire il ne faut surtout pas être tendre
Juste quelques petites années à patienter
En politique il faut savoir il faut savoir attendre
De la mairie au ministère à l'assemblée
C'est un boulot de longue haleine de longue attente
Pour enfin un jour au beau milieu des mondanités
A leurs bonnes femmes faire les yeux tendres
Et de leur amour-propre de leur vanité
En quelques mots en faire un tas de cendres
Et du plus lâche du plus servile du plus mauvais
J'en ferai mon assistant et peut-être mon gendre
Pour l'instant je taille des haies
Pour l'instant j'arrondis les angles
Pour l'instant je courbe l'échine
Pour l'instant j'en avale ma langue
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