• En terme de compilation, dur de faire mieux. D'abord because, c'est les Beatles et tout l'ensemble est super bien fait... Deux doubles albums mythiques. L'idée des photos à la même place aves les années de diffèrence est saisissante. Ca c'était la musique de mon enfance. On pourrait faire la même chose, prendre une photo de nous avant et une aprés, mais je pense que ca nous fouttrais les boules de voir tout ce qu'on a pu laisser filer, ou tout ce qui a pu nous échapper.


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  • Et voilà, nous sommes tous au bord de la crise de nerf, est ce que la france (grand pays) arrivera à battre le togo (pays beaucoup plus petit, où les gamins jouent pieds nus avec des boites de conserve en guise de but)? Si ca se trouve le salaire des joueurs francais ca fait le PIB du Togo... Putain je serais presque pour le Togo, y en a marre de passer pour des branques. Mais voilà, la France est un pays nombriliste et ca se ressent jusqu'a dans son football.

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  • Bon aprés "in my life" qui m'a poursuivi tous le début de semaine, c'est au tour de "Heroes" de me trotter dans la tête. Celle tu peux la reprendre juste en accompagnement accoustique, c'est déjà un régal. Il y a des morceaux qui donnent plus de sensations et celui là est pas mal à ce niveau. C'est vrai que l'on peut être des héros, il faut juste s'en donner le moyen et se persaduer que c'est possible. mais bon, c'est un peu comme l'histoire du mec qui se dit que pour voler, il doit y croire à fond et qui se jette du haut de l'immeuble. Tiens, le lien à Bowie encore avec le morceau "Jump". La boucle est bouclée.

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  • tip top; ai reçu un mail de Seb, la connection bretonne fonctionne bien, dommage d'être aussi loin... la musique est dans sa vie comme une cerise sur le gateau...Pas mal. Pas mal de réponse à la petite annonce pour trouver un chanteur; Celle d'un dénommé Miguel est particulièrement intéressante (chant soul rock+ gros bosseur+ apparement une personnalité intéressante). ca serait bien de pouvoir un peu fédéré tous ces musiciens, aprés tout on bosse tous pour la même cause.

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  • Petit hommage au label NEW ROSE (quequ'un a dit Warum Joe?)

    L'histoire de New Rose.

    Alors que depuis de nombreuses années leur pôle d'intérêt principal était la musique, en 1980 Patrick Mathé et Louis Thevenon, 2 copains, se décidèrent à franchir le cap en ouvrant une petite boutique à côté de l'Odéon (à Paris).
    New Rose trouva l'origine de son nom dans le titre d'un des singles du premier album des Damned (Dave Vanian, Captain Sensible, Brian James et Rat Scabies), groupe mythique de la vague punk anglaise.
    Rapidement la boutique devint l'un des hauts lieux de la capitale en matière de rock indépendant au même titre que les salles du Gibus, du Rose Bonbon et du Bataclan. On y rencontrait journalistes, artistes et jeunes passionnés à la recherche du nouveau rock avec de nombreux albums en import.
    Les deux associés vont rapidement monter un label pour permettre à tous ces nouveaux groupes de sortir un disque, tout comme en Angleterre : Island, Rough Trade, Stiff Records et Virgin avec Richard Branson à sa tête. Quelques mois après l'ouverture du magasin, New Rose sortait sur son label le premier album de The Saints (en provenance d'Australie) : Paralytic tonight, Dublin Tomorrow, emmené par le chanteur leader Chris Bailey. Leur single : Always fit sensation.
    Une fois ce premier succès franchi, New Rose offrit l'opportunité d'enregistrer à de nombreux groupes français et internationaux, dont les majors sous estimèrent la portée. Parmi eux on retrouve les Charles De Goal, les premiers pas de La Sourie Déglinguée, The Cramps, Johnny Thunders (en rupture de New York Dolls), Willie Loco Alexander, The Troggs, The Inmates...La seconde sortie qui fera date chez New Rose est celle en 1982 de l'album Fire of love (dont le single Sex Beat) de The Gun Club qui avait l'originalité de marier le blues ancestral et le punk californien.
    Petit à petit les albums et singles référencés New Rose commencèrent à s'exporter à l'étranger grâce aux Cramps, the Outcasts... qui montèrent au sommet des charts anglais, puis avec True West qui se classa premier dans de nombreux pays allant des USA au Japon en passant par l'Australie.






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